Surnommé Joseph
7 avril
A Steinfeld, le bienheureux Herman, confesseur, que la Vierge Mère de Dieu voulut se fiancer à elle-même, et à qui elle donna le nom de Joseph. Illustre par des révélations très-fréquentes, par le don de prophétie et par ses vertus, il remit son esprit entre les mains du Sauveur Jésus, le jeudi de Pâques, et éclata en miracles après la mort. ✞ 1230.
Confesseur de l'Ordre des frères Prêcheurs
5 avril
À Vannes, en Bretagne, saint Vincent Ferrier, confesseur, de l’Ordre des Frères Prêcheurs, qui, puissant en œuvres et en paroles, convertit des milliers d’infidèles à la foi de Jésus-Christ. ✞ 1419.
Saint Patron de l'Irlande
17 mars
En Irlande, la naissance au ciel de saint Patrick, évêque et confesseur, qui le premier prêcha Jésus-Christ dans cette île, et brilla tant par ses grands miracles que par ses hautes vertus. 464.
Fondateur de l'Ordre des Frères de la Charité
8 mars
À Grenade, en Espagne, saint Jean de Dieu, fondateur de l’Ordre des Frères de la Charité, destiné à soigner les malades. ✞ 1550.
Confesseur et Docteur de l'Église
7 mars
Au monastère de Fossa-Nova, près de Terracine, saint Thomas d’Aquin, confesseur et docteur, de l’ordre des Frères-Prêcheurs, illustre par la noblesse de sa race, par la sainteté de sa vie et par sa science théologique. ✞ 1274.
A Valenciennes, saint Druon, confesseur. 1189.
A Steinfeld, le bienheureux Herman, confesseur, que la Vierge Mère de Dieu voulut se fiancer à elle-même, et à qui elle donna le nom de Joseph. Illustre par des révélations très-fréquentes, par le don de prophétie et par ses vertus, il remit son esprit entre les mains du Sauveur Jésus, le jeudi de Pâques, et éclata en miracles après la mort. ✞ 1230.
À Vannes, en Bretagne, saint Vincent Ferrier, confesseur, de l’Ordre des Frères Prêcheurs, qui, puissant en œuvres et en paroles, convertit des milliers d’infidèles à la foi de Jésus-Christ. ✞ 1419.
En Irlande, la naissance au ciel de saint Patrick, évêque et confesseur, qui le premier prêcha Jésus-Christ dans cette île, et brilla tant par ses grands miracles que par ses hautes vertus. 464.
À Grenade, en Espagne, saint Jean de Dieu, fondateur de l’Ordre des Frères de la Charité, destiné à soigner les malades. ✞ 1550.
Au monastère de Fossa-Nova, près de Terracine, saint Thomas d’Aquin, confesseur et docteur, de l’ordre des Frères-Prêcheurs, illustre par la noblesse de sa race, par la sainteté de sa vie et par sa science théologique. ✞ 1274.
En Terre-Sainte, saint Cyrille, confesseur, de l’Ordre des Carmes, qui, par sa doctrine et par sa sainteté, amena un grand nombre d’hommes à la foi, dirigea admirablement son Ordre pendant vingt-sept ans, et enfin, sous les empereurs Philippe et Othon, termina sa vie par un heureux trépas. ✞ 1224.
À Naples, le décès de saint Jean-Joseph de la Croix, de l’Ordre des Mineurs déchaussés, fondateur de la famille italienne de saint Pierre d’Alcantara et son premier provincial. Émule de saint François d’Assise et de Pierre d’Alcantara, il ajouta un grand éclat à la gloire de l’Ordre Séraphique et fut mis dans le canon des Saints par le pape Grégoire XVI. ✞ 1734.
À Vilna, en Lithuanie, le bienheureux Casimir, fils du roi Casimir, que le pontife romain Léon X mit au rang des Saints. ✞ 1483.
A Bruges, en Flandre, saint Charles le Bon, comte de la province et martyr. 1127.
Les Confesseurs
Chrétien qui a professé publiquement la foi de Jésus-Christ ; qui a souffert pour elle, et qui était disposé à mourir pour cette cause ; il est distingué d’un martyr, en ce que celui-ci a souffert la mort pour rendre témoignage de sa foi. Dans l’Histoire ecclésiastique, ces deux noms sont souvent confondus ; mais plus ordinairement l’on nomme confesseurs ceux qui, après avoir été tourmentés par les tyrans, ont survécu et sont morts en paix, et ceux qui, sans avoir souffert des tourments, ont vécu saintement et sont morts en odeur de sainteté.
On n’appelait point confesseur, dit saint Cyprien, celui qui se présentait lui-même au martyre sans être cité, on le nommait professeur ; mais ce zèle n’était pas approuvé par l’Église,
« Nous n’approuvons pas, disaient au second siècle les fidèles de Smyrne, ceux qui s’offrent d’eux-mêmes au martyre, parce que l’Évangile ne l’enseigne point ainsi. »
En effet, Jésus-Christ dit à ses apôtres :
« Lorsque vous serez persécutés dans une ville, fuyez dans une autre. »
Saint Clément d’Alexandrie dit que celui qui va de lui-même se présenter aux juges, imite la témérité de ceux qui provoquent un animal féroce, et se rend aussi coupable du crime de celui qui le condamne à la mort.
Un concile de Tolède défendit d’accorder les honneurs du martyre à ceux qui s’y étaient allés présenter eux-mêmes. Il n’est donc pas vrai que les Pères aient soufflé aux chrétiens le fanatisme du martyre, comme les incrédules ont osé le leur reprocher.
Si quelqu’un, par la crainte de manquer de courage et de renoncer à la foi abandonnait son bien, son pays, etc., et s’exilait lui-même volontairement, on l’appelait extorris, exilé.